Jeudi et vendredi c’est le week-end en Iran, et des milliers de familles se sont entassées dans les Peugeot et Saipa blanches pour aller visiter les sites touristiques de la région.
Je me suis donc retrouvé pris dans des embouteillages presque en permanence ces deux derniers jours.
Après une nuit sur la plage de Gissoum, envahie par les tentes, je pars visiter le château de Rudhkan perché dans la montagne au bout d’une montée de mille marches. Une famille d’iraniens m’offre le déjeuner au retour. Ensuite je pars vers le village pittoresque de Masuleh qui est également bondé de touristes pour y rester la nuit. Les iraniens installent géneralement leur tente sur des espaces verts voire sur le trottoir, cette fois j’opte pour un petit appartement.
La route vers Téhéran se fait par des voies rapides plus ou moins encombrées. Je me suis adapté au style de conduite local, on oublie les clignotants, les priorités et les marquages au sol.
La Tiger a toujours autant de succès, à chaque arrêt c’est séance photos. Alors que les turcs me demandaient toujours le prix de l’engin, les iraniens sont intéressés par sa cylindrée.




